samedi 21 mai 2011

22 mai Plozévet et ses environs

Pas chaud, ce matin, quoique plutôt ensoleillé.. Petite promenade avant de déjeuner. La mer est a trois pas : deux kilomètres. Le milieu est protégé.












La côte est belle. Nous partons nous promener. Addition : dans mon billet original, je n'avais pas noté où et maintenant, j'ai oublié.










Je fais la touriste, sur la promenade le long du quai.




Nous rencontrons deux vieux messieurs qui engagent la conversation. Québécois, pas Canadiens. Ah oui, pardon, c'est pas pareil. DSK, tout le monde en parle ici. L'un des deux hommes prononce Déheskon. Je pense que son opinion est assez claire. La conversation se termine avec la déclaration d'un des deux qui annonce qu'il est pour l'indépendance de la Bretagne.

Nous décidons de dîner dans un restaurant sur la rue qui longe le port. Les cuisines sont en haut de la salle de service ! Les garçons courent, littéralement. Et le repas se fait sérieusement attendre.

Du temps a passé depuis que j'ai écrit la dernière phrase. Nous sommes entrés vers 13:05, notre entrée arrive vers 13:50. Moi, je suis surprise : les moules, très copieuses, sont servies toutes nues, enfin dans leur coquille, mais sans apprêt. Roger observe que la terrasse se vide et que ça devrait aller plus vite maintenant. Le dos de julienne dieppoise est très bien cuit, la sauce, délicieuse. Des gens arrivés juste un peu après nous obtiennent leur assiette principale alors que nous terminons la nôtre. La mousse au chocolat est honorable. C'était bien, somme toute, mais je ne recommanderais pas le restaurant. Roger entendait hurler la cheffe de cuisine à intervalles quasi réguliers. Je lui rappelle que c'est la « culture » dans les grands restaurants et qu'un jeune homme de notre connaissance, qui avait entrepris un stage dans un restaurant bien coté, ce qui était son rëve, avait préféré tout laisser tomber, excédé du climat de tension insupportable qui y régnait. Roger dit sûrement pas chez nous. Je dis hum. En fait, je ne sais pas. Suzanne, tu es au courant pour les grandes cuisines du Québec ?

Le Photographe s'envoie en l'air, au moment où j'écris. Lui et Yann Bourdic sont partis faire de la photo aérienne.

J'espère qu'ils vont aimer parce que pour y aller, Rpger a dû décommander une rencontre avec un ami de Françoise qui s'était gentiment offert à nous recevoir pour souper et passer la soirée. Mais le pilote n'avait pas d'autre case horaire. Et d'ailleurs le vol a été retardé d'une heure.


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